sábado, 21 de julio de 2007

Elvis Presley - You don't know me


You give your hand to me, and then you say hello,
and I can hardly speak, my heart is beating so...
And anyone could tell, you think you know me well,
but you don't know me.

No, you don't know the one who dreams of you at night,
and longs to kiss your lips, and longs to hold you tight.
To you I'm just a friend, and that's all I've ever been.
No, you don't know me.

For I never knew the art of making love
though my heart aches with love for you.
Afraid and shy I let my chance go by,
the chance that you might love me too.

You give your hand to me and then you say good-bye,
I watch you walk away, beside the lucky guy,
to never, never know, the one who loves you so.
No, you don't know me.


viernes, 20 de julio de 2007

Reik - Me duele amarte


Me duele amarte
sabiendo que ya te perdi.
Tan sólo quedará la lluvia
mojando mi llanto
y me hablará de ti.

Me duele amarte.
Los sueños que eran para ti
se pierden con cada palabra,
con cada momento
que esperé vivir.

Me duele más imaginar
que tú te vas y dejarás
detrás de ti
tu ausencia en mis brazos.

Me duele tanto sospechar
que ni tu sombra volverá
para abrigar
a mi alma en pedazos.

Me duele amarte así,
hasta morir,
lanzándome a la nada:
viéndote partir.

Me duele aquel abril
cuando te vi
por vez primera y dije
que eras para mi.

Me duele amarte tanto.

Me duele amarte.
Los sueños que eran para ti
se pierden con cada palabra,
con cada momento
que esperé vivir.

Me duele más imaginar
que tú te vas y dejarás
detrás de ti
tu ausencia en mis brazos.

Me duele tanto sospechar
que ni tu sombra volverá
para abrigar
a mi alma en pedazos.

Me duele amarte así,
hasta morir,
lanzándome a la nada:
viéndote partir.

Me duele aquel abril
cuando te vi
por vez primera y dije
que eras para mi.

Me duele amarte tanto.

lunes, 16 de julio de 2007

Grand Corps Malade - Les voyages en train


J'crois qu'les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
et quand j'vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un.
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard?

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins.
Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
toi aussi tu leur fais signe et t'imagines leurs commentaires:
certains pensent que tu t'plantes et qu't'as pas les pieds sur terre.
Chacun y va d'son pronostic sur la durée du voyage,
pour la plupart le train va dérailler dès le premier orage.

Le grand amour change forcément ton comportement,
dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment:
siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe?

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
t'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur.

Mais la magie ne dure au'un temps et ton histoire bat de l'aile,
toi tu te dis que tu n'y es pour rien et que c'est sa faute à elle.
Le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écoure,
faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur.

Et le train ralentit, c'est déjà la fin de ton histoire,
en plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare.
Tu dis au revoir à celle que t'appelleras désormais ton ex,
dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.

C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un.
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard?

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
à connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain.
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
pour réussir son voyage et avois accès au bonheur.

Il est facile de prendre un train encore faut-il prendre le bon,
moi je suis monté dans deux trois rammes mais c'était pas le bon wagon,
car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles,
et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève,
et leurs histoires d'amour n'existent que dans leur rêves,
et y a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station.
Y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
pour celles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
et y a les aventuriers qu'enchaînent voyage sur voyage,
dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.

Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
on s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi.
Depuis je traîne sur le quai je regarde les trains au départ,
y a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sens à part.

Il paraît que les voyages en train finissent mal en général,
si pour toi c'est le cas accorche-toi et garde le moral,
car une chose est certaine: y aura toujours un terminus.
Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus.

sábado, 7 de julio de 2007

Fernando Celada - Nublos

Ausencia quiere decir olvido,
decir tinieblas, decir jamás,
las aves pueden volver al nido,
pero las almas que se han querido,
cuando se alejan no vuelven más.

¿No te lo dice la luz que expira?
¡Sombras es la ausencia, desolación!...
Si tantos sueños fueron mentira,
¿por qué se queja cuando suspira
tan hondamente mi corazón?

¡Nuestro destino fue despiadado!
¿Quén al destino puede vencer?
La ausencia quiere decir nublado...
¡No hay peor infierno que haberse amado
para ya nunca volverse a ver!

¡Qué lejos se hallan tu alma y la mía!
La ausencia quiere decir capuz;
la ausencia es noche, noche sombría...
¿En qué ofendimos al cielo un día
que así nos niega su tibia luz?

Nuestras dos almas, paloma y nido,
calor y arrullo no vuelven más
a la aventura del bien perdido...
¡La ausencia quiere decir olvido,
decir tinieblas... decir jamás!

Fernando Celada

viernes, 6 de julio de 2007

Te amaré - Silvio Rodríguez


Te amaré, te amaré como al mundo,
te amaré, aunque tenga final.

Te amaré, te amaré en lo profundo.
Te amaré como tengo que amar.

Te amaré, te amaré como pueda,
te amaré aunque no sea la paz.

Te amaré, te amaré lo que queda,
te amaré cuando acabe de amar.

Te amaré, te amaré si estoy muerto,
te amaré el día siguiente además.

Te amaré, te amaré como siento,
te amaré, con adiós, con jamás.


Te amaré, te amaré junto al viento,
te amaré como único ser.

Te amaré hasta el fin de los tiempos.
Te amaré y después, te amaré.

miércoles, 4 de julio de 2007

Marilou Bourdon & Garrou - Tu es comme ça


Tu es comme ça, fier et libre,
tu peux partir là-bas
mais rien ne t'éloigne jamais
de ce que tu aimes, de ce que tu aimes.
Tu es comme ça, coeur fidèle,
ton regard se perd parfois
mais rien ne te fait oublier
de ce que tu aimes, de ce que tu aimes.

Alors tu veux redonner, aux fleurd, au ciel, aux gens
des couleurs qu'ils n'on plus;
rammener la douceur un peu à ceux qu'ils l'ont perdu.
Alors tu veux des musiques, du temps, des instants d'or
pour apaiser les tiens.
Quelques notes magiques, un mot, un rien pour qu'ils soient bien.

Tu es comme ça, fier et libre,
tu peux partir là-bas
mais rien ne t'éloigne jamais
de ce que tu aimes, de ce que tu aimes.


Alors tu veux caresser leurs coeurs, voler leurs âmes aux frissons de ta voix
et leur garder toujours ouverte ta maison et tes bras.
Alors tu veux faire cadeau du temps, de l'éternelle, à ceux qui sont partis,
et garder ton sourire enfin pour eux à l'infini.

Tu es comme ça, passagère,
tu peux rêver d'ailleurs,
mais tous les chemins te ramène.

Comme ça, fier et libre.
Tu peux partir là-bas
mais rien ne t'éloigne jamais
de ce que tu aimes, de ce que tu aimes.
Tu es comme ça, coeur fidèle,
ton regard se perd parfois
mais rien ne te fait oublier
de ce que tu aimes, de ce que tu aimes.

Tu es comme ça...
tu es fier et libre,
mais tu n'oublies jamais...
Tu es comme moi...

martes, 3 de julio de 2007

Amaral - Te necesito


Oh, como quieres que me aclare
si aún soy demasiado joven
para entender lo que siento,
pero no para jurarle
al mismísimo ángel negro
que si rompe la distancia
que ahora mismo nos separa,
volveré para adorarle,
le daría hasta mi alma;
si trajera tu presencia
a esta noche que no acaba.

Te necesito
como a la luz del sol
en este invierno frío
para darme tu calor.

Oh, como quieres que te olvide
si tu nombre está en el aire
y sopla entre mis recuerdos.
Sí, ya sé que no eres libre.
Sí, ya sé que yo no debo
retenerte en mi memoria.
Así es como yo contemplo
mi tormenta de tormento,
así es como yo te quiero.

Te necesito
como a la luz del sol
en este invierno frío
para darme tu calor.

Te necesito
como a la luz del sol:
tus ojos el abismo
donde muere mi razón.

Oh, ¿como quieres que me aclare?
Oh, amor, ¿cómo quieres que te olvide?

Te necesito
como a la luz del sol
en este invierno frío
para darme tu calor.

Te necesito
como a la luz del sol:
tus ojos el abismo
donde muere mi razón.

lunes, 2 de julio de 2007

U2 - All I want is you


You say you want
diamonds on a ring of gold.
You way you want
your story to remain untold.

But all the promises we make
from the cradle to the grave
when all I want is you.

You say you'll give me
a highway with no one on it,
treasure just to look upon it
all the riches in the night.

You say you'll give me
eyes in a moon of blindness,
a river in a time of dryness,
a harbour in the tempest,
but all the promises we make
from the cradle to the grave
when all I want is you.

You say you want
your love to work out right,
to last with me through the night.

You say you want
diamonds on a ring of gold,
your story to remain untold,
your love not to grow cold.

All the promises we break
from the cradle to the grave
when all I want is you.

You... all I want is...
You... all I want is...
You... all I want is...
You...

domingo, 1 de julio de 2007

Gustavo Lastra - El Amor

El Amor
no es el protagonista
de aquél cuento de hadas,
no es una rosa más
en un edén de colores,
no es un ramo de flores
en fechas ya señaladas.

El Amor
no es el escudo negro
del que da una limosna,
ni esa lástima mustia de tu alma
ante seres en pena;
no es tu barca segura
en un mar para dos.

El Amor
no está en rincones vacíos
donde se huye del frío
con caricias pasajeras.
El Amor
no se compra con dinero,
no se obtiene al mayoreo,
no es el fruto del deseo.

El Amor
fue el origen de la vida
y de nosotros depende
que sea Omega de la historia...
de esta historia de los hombres
donde impera la pobreza,
donde el hambre y la esperanza
luchan por ser compañeras.

El Amor
es un corazón dispuesto
a saborear la amargura
y a endulzarla poco a poco,
a cavar su sepultura
por la causa de un hermano
y a liberar las amarras
que atan a otro ser humano.


El Amor
fue el origen de la vida
y de nosotros depende
que sea Omega de la historia...
de esta historia de los hombres
donde impera la pobreza,
donde el hambre y la esperanza
luchan por ser compañeras.

El Amor
es un corazón dispuesto
a saborear la amargura
y a endulzarla poco a poco,
a cavar su sepultura
por la causa de un hermano
y a liberar las amarras
que atan a otro ser humano.



sábado, 30 de junio de 2007

Patxi Garat - La Dernière Berceuse


C'est l'heure,
c'est l'heure,
cette fois
je le crois.

"J'ai peur,
j'ai peur"
Mais ne t'en fais pas...
je suis là.

Le temps d'une dernière berceuse
il est loin le temps,
où t'étais amoureuse de la vie,
et maintenant...

Je pleure,
je pleure.
Tu vas tellement, tellement nous manquer.

J'effleure,
j'effleure,
ta peau de jolie fleur que tu quittes...
Je suis là à tes côtés.

Le temps d'une dernière berceuse,
il est loin le temps,
où t'étais amoureuse de la vie.

Je te laisse
cette dernière berceuse.
Je te laisse...
dors, dors, dors...


viernes, 29 de junio de 2007

Serge Lama - Je suis malade


Je ne rêve plus, je ne fume plus,
je n'ai même plus d'histoire,
je suis sale sans toi, je suis laid sans toi.
Je suis comme un orphelin dans un dortoir.

Je n'ai plus envie de vivre ma vie,
ma vie cesse quand tu pars.
Je n'ai plus de vie, et même mon lit
se transforme en quai de gare
quand tu t'en vas.

Je suis malade, complètement malade,
comme quand ma mère sortait le soir
et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir.

Je suis malade, parfaitement malade.
T'arrives on ne sait jamais quand,
tu repars on ne sait jamais où,
et ça va faire bientôt deux ans
que tu t'en fous.

Comme à un rocher, comme à un péché
je suis accroché à toi.
Je suis fatigué, je suis épuisé
de faire semblant d'être heureux quand ils sont là.

Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies
pour moi ont le même goût,
et tous les bateaux portent ton drapeau.
Je ne sais plus où aller, tu es partout.

Je suis malade, complètement malade.
Je verse mon sang dans ton corps
et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors.

Je suis malade, parfaitement malade.
Tu m'as privé de tous mes chants,
tu m'as vidé de tous mes mots
pourtant moi j'avais du talent avant ta peau.

Cet amour me tue et si ça continue
je crèverai seul avec moi
près de ma radio comme un gosse idiot
écoutant ma propre voix qui chantera.

Je suis malade, complètement malade.
Comme quand ma mère sortait le soir
et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir.

Je suis malade c'est ca, je suis malade.
Tu m'as privé de tous mes chants,
tu m'as vidé de tous mes mots
et j'ai le coeur complètement malade,
cerné de barricades, t'entends... je suis malade.

jueves, 28 de junio de 2007

Virginie - Abandon


Je ne sais plus où aller,
je ne sais plus quoi penser...
Pourquoi devrai-je cacher
cet amour si parfait?

Non, je ne suis pas fort,
j'aimerai plutôt m'enfuir...
Refermer cette porte,
et oublier tout ce qui me fait souffrir...

Bien sûr, je t'aime,
aurai-je encore besoin de te le rappeler?
Bien sûr, ça me tue,
j'sais plus où j'en suis, je suis perdu.

Excuses-moi, je t'en prie,
tu sais combien la vie peut décevoir...
Détestes-moi, je t'en prie,
haïs-moi, je n'ai plus d'espoirs...


Mon coeur reste avec le tien,
comme ça il ne souffrira pas...
Prends-en bien soin,
ce n'est pas lui qui me fait sentir ça...

Bien sûr, j'ai mal,
comment peut-tu, ne serai-ce qu'en douter?
Bien sûr, je suis lâche,
au lieu de me battre, j'préfère juste abandonner...

Je sais que je m'en voudrai à jamais,
mais je ne cherche pas à me faire pardonner...
Je ne suis pas parfaite,
j'ai commis des erreurs, il faut que je l'admette...

Non, ne t'en vas pas,
pas encore, attends, je voudrais que tu saches...
Non, ne t'enfuis pas,
pas avant que je te le dise une dernière fois:

Que dans ma vie, tout va changer...
Mais je n'aimerai jamais personne aussi fort...
Et je ne t'oubliera jamais...
Je pars, même si je sais que j'ai tort...

jueves, 21 de junio de 2007

Virginie - Ce qu'il me reste de toi


Dis-moi 'je n'ai plus besoin de toi',
dis-moi 'je me porte mieux sans toi',
dis-le moi, même si je le sais déjà...
pourquoi en est-on arrivés là...

Parfois j'aimerais revenir vers toi,
mais ça, ça changerai quoi...
Ce n'est pas moi qui me suis arraché à tes bras,
c'est toi qui ne voulait plus de moi.

Et j'ai beau dire que tout vas bien,
que cette douleur n'est pas sans fin.
Je pense encore à tes sourires
qui me donnaient l'impression de te suffire.


Et blesse-moi une fois pour toutes,
que ça me fasse reprendre ma route...
Rappelle-moi ce que lui a de plus que moi,
redis-le moi encore une fois...

Dis-moi que tout est de ma faute,
que je ne valais pas mieus qu'un autre,
que rien de tout ça n'en valait la peine,
que de toute façon tu n'aimes qu'elle().

Et j'ai beau dire que tout vas bien,
que cette douleur n'est pas sans fin.
Je pense encore à tes sourires
qui me donnaient l'impression de te suffire.


Et j'ai beau dire que tout vas bien,
qu'un mois, ça représente rien...
Je pense encore avoir échoué,
ne pas tout t'avoir donné...


Et tu me laisses, petite ange...
en espérant que rien ne change.
Ne vois-tu pas que même si moi,
je ne le dis pas...
il ne me reste de toi,
que ce que l'on ne vivra pas.

miércoles, 20 de junio de 2007

"Le Roi Soleil" - S'aimer est interdit

On croit que rien n'est jamais plus fort que l'amour,
que c'est un don que le ciel nous a fait un jour,
un bien plus grand que tous les trésors de la terre.
On croit qu'on peut le garder rien que pour soi.
Comment penser que quelqu'un puisse le défaire
et oublier à qui l'on tient quand on le perd?
Que j'ai ou pas vraiment le droit,
même loin de toi je serais là.
Fait-on les mêmes promesses chaque fois?

S'aimer pour nous est interdit.
Impossible amour,
mais amour infini.
S'aimer pour nous n'est pas permis.
Indicible est l'amour,
c'est ce qu'ils nous auront appris.

Si j'avais su que c'étatit joué d'avance...
Si j'avais su que j'allais te faire souffrir...
Avec le fer encore chaud de nos alliances.
Comment savoir d'où vient le mal, d'où vient le pire?
J'aurais fait le premier pas vers toi,
je n'aurais pas eu peur de ça.
Fait-on les mêmes erreurs chaque fois?

S'aimer pour nous est interdit.
Impossible amour,
mais amour infini.
S'aimer pour nous n'est pas permis.
Indicible est l'amour,
c'est ce qu'ils nous auront appris.

On peut partir sans ne jamais rien quitter...
On peut rester sans ne jamais rien oublier...
On peut s'aimer au point de s'en aller,
s'en aller.

S'aimer pour nous n'est pas fini.
Impossible amour,
mais amour infini.
S'aimer pour nous est interdit.
Indicible est l'amour,
c'est ce qu'ils nous auront...
c'est ce qu'ils nous auront appris...
appris.

martes, 19 de junio de 2007

Franco De Vita - Tú de qué vas


Si me dieran a elegir una vez más,
te elegiría sin pensarlo.
Es que no hay nada que pensar,
que no existe ni motivo ni razón
para dudarlo ni un segundo
porque tú has sido lo mejor
que tocó este corazón
y que entre el cielo y tú
yo me quedo contigo...

Si te he dado todo lo que tengo
hasta quedar en deuda conmigo mismo,
y todavía preguntas si te quiero
tú de qué vas.
Si no hay un minuto de mi tiempo
que no me pasas por el pensamiento
y todavía preguntas si te quiero...

Si esto no es querer entonces dime tú lo que será,
si necesito de tus besos pa' que pueda respirar
y de tus ojos que van regalando vida
y que me dejan sin salida
y para qué quiero salir,
si nunca he sido tan feliz
que te prefiero más que nada en este mundo...

Si te he dado todo lo que tengo
hasta quedar en deuda conmigo mismo
y todavía preguntas si te quiero
tú de qué vas.
Si no hay un minuto de mi tiempo
que no me pasas por el pensamiento
y todavía preguntas si te quiero...

Ay es que no ves
que toda mi vida tan sólo depende de tí...

Si te he dado todo lo que tengo
hasta quedar en deuda conmigo mismo
y todavía preguntas si te quiero,
tú de qué vas.
Si no hay un minuto de mi tiempo
que no me pasas por el pensamiento
y todavía preguntas si te quiero...




lunes, 18 de junio de 2007

Luis Cernuda, Joan Manuel Serrat - Más que a nadie

Que te quiero más que a nadie y más que a nada,
te lo he dicho con mis ojos centinelas,
te lo he dicho con mis manos que te celan,
te lo he dicho con mi lengua enamorada.

Que te quiero más que a cualquier otra cosa,
te lo he dicho con el sol y los cometas,
te lo he dicho con el viento y la veleta,
te lo he dicho con el agua luminosa.

Que te quiero, te quiero, mujer.
Que te quiero y no hay nada que hacer.

Que te quiero sobre todas las mujeres,
te lo he dicho con el pan de cada día,
te lo he dicho con el miedo y la alegría,
con el tedio que nos mate y que nos muere.

Que te quiero como nunca te han querido,
te lo he dicho recreándome en la suerte,
más allá de la vida con la muerte,
más allá del amor con el olvido.

Que te quiero, te quiero, mujer.
Que te quiero y no hay nada que hacer.

Más que a nadie y más que a nada.

domingo, 17 de junio de 2007

Joan Manuel Serrat - Vagabundear

Harto ya de estar harto, ya me cansé
de preguntarle al mundo por qué y por qué.
La rosa de los vientos me ha de ayudar
y desde ahora vais a verme vagabundear,
entre el cielo y el mar
vagabundear.

Como una cometa de caña y de papel,
me iré tras una nube pa' serle fiel.
A los montes, los ríos, el sol y el mar,
a ellos que me enseñaron el verbo amar.
Soy palomo torcaz,
dejadme entrar.

No me siento extranjero en ningún lugar,
donde haya lumbre y vino tengo mi hogar.
Y para no olvidarme de lo que fuí,
mi patria y mi guitarra las llevo en mí,
una es fuerte y es fiel,
la otra un papel.

No llores porque no me voy a quedar,
me diste todo lo que tú sabes dar,
la sombra que en la tarde da una pared
y el vino que me ayuda a olvidar mi sed.
¿Qué más puede ofrecer
una mujer?

Es hermoso partir sin decir adiós,
serena la mirada, firme la voz,
Si de veras me buscas, me encontrarás,
es muy largo el camino para mirar atrás.
Qué más da, qué más da,
aquí o allá.


sábado, 16 de junio de 2007

Jon Secada - Ángel


Yo, no veo el futuro
pero quiero tenerte aquí,
conmigo,
lo necesito así.

No pienses, no pienses el mañana,
vamos a amarnos hoy,
ahora,
este momento vivir.

Mi vida,
yo trataré de olvidarte
pero la luz de tus ojos
brilla...
Eres un ángel
que alumbra mi corazón.

Yo, no quise decirte
lo que yo no quería saber
de mí,
tenía miedo sentir.
Pero tú, tú me enseñaste
a enfrentarme a la realidad,
a la verdad.
La realidad, la verdad.

Mi vida,
yo trataré de olvidarte
pero la luz de tus ojos
brilla, brilla, brilla...
Tú eres un ángel
que alumbra mi corazón.

Mi vida,
yo trataré de olvidarte
pero la luz de tus ojos
brilla...
Eres un ángel
que alumbra mi corazón.

Mi ángel

martes, 6 de febrero de 2007

MATT POKORA - NO SIN TI







No sin ti



Recuerdo aún el día,



cuando te ví amor mío,



a la vuelta de una esquina.



Quién podría haber imaginado



que el destino



fogoso como yo lo estaba,



nos hubiera podido encontrar.





Me pareciste tan bella,



a mis ojos fuiste como una chispa,



que me da un nuevo porvenir,



tanto placer,



te quiero más allá de todos mis límites.





Tú eres mi número 1 baby,



yo te sigo hasta el fin.



Amante, o bien mi amiga,



tú serás la única, lo confieso.





Me veo



marchando lejos



pero no sin tí,



yo te quisiera mía.



Cree en mí,



y que estas palabras sean grabadas en la piedra.



Oh prométeme.





Me veo,



como en un poema,



pero no sin ti,



vivir la alegría.



Cree en mí



y que estas palabras sean grabadas en la piedra,



oh prométemelo.





No diré más las palabras



que antes te lastimaban.



Ya he dicho bastantes,



y he hecho mal y perdido mucho tiempo.



Hoy lamento tantas cosas,



engañar a aquellos que me aman,



lastimados con palabras crueles.



Ignorando sus 'detente'



por todo el mal que pude haberte hecho,



te pido perdón,



créeme que he sufrido también.





Tú eres mi número 1 baby,



yo te sigo hasta el fin.



Amante o bien amiga,



tú serás la única, lo confieso.





Dame una última oportunidad.








lunes, 5 de febrero de 2007

FRANÇIS CABREL: JE L'AIME À MOURIR

Preciosa esta canción es aún más especial... esto es lo que has hecho por mí y cómo has cambiado mi vida... con pequeños detalles, con pequeños momentos, te has convertido en mi sueño, y es un sueño tan maravilloso y único que sería difícil describirlo.



Aunque no parezca... es el mismo cantante que en la de 'Octobre', nada más que como 20 años antes. Y además, te pongo el video en francés y al final también te pongo el video en español tomado en la misma época, además de la traducción que yo hice del francés, que son un poquito diferentes... ya tú dirás cuál te gusta más. De hecho la versión en español la cantan varios artistas... igual y ya la conocías. A mí me gusta una mezcla de las dos... sobre todo la parte de 'y me enseña a pintar transparente el dolor con su sonrisa' =) TQ



Je l'aime à mourir


Yo no era nada

y mírame hoy,

soy el guardián

del sueño de sus noches.

La quiero a morir.


Puedes destruir

todo aquello que te plazca,

ella no tiene más que abrir

el espacio entre sus brazos

para todo reconstruir,

para todo reconstruir,

la quiero a morir.


Ella ha borrado las cifras

de los relojes para mí,

ella ha hecho de mi vida

pajaritos de papel,

cascadas de risa,

ella ha construido puentes

entre nosotros y el cielo,

y los atravesamos

cada vez que

no quiere dormir,

no quiere dormir,

la quiero a morir.


Ella enfrentó todas las guerras

para ser tan fuerte hoy,

ella enfrentó cada guerra,

de la vida, y del amor también.

Ella vive de lo mejor,

de su sueño de opalina,

ella danza en medio

de bosques que dibuja,

la quiero a morir.


Ella lleva cintas de colores,

que deja volar al viento,

y me canta diciendo

que pierdo el tiempo

en intentar retenerlos

en intentar retenerlos.

La quiero a morir.


Para subir a su guarida

escondida en los tejados,

debo poner música

a mis zapatos de madera,

la quiero a morir.


Debo sólo sentarme,

no debo hablar,

no debo nada desear,

debo sólo intentar

de pertenecerle,

de pertenecerle,

la quiero a morir.




domingo, 4 de febrero de 2007

CELINE DION: JE NE VOUS OUBLIE PAS







En mis ausencias, a veces, sin dudarlo,


podría haberme alejado,


como si hubiera perdido el camino,


como si hubiera cambiado.




Ahora, tengo algunas palabras tiernas,


justas para decirte,


que no te olvido, no, jamás.


Tú estás en el centro de mí,


en mi vida, en todo lo que hago.




Mis primeros amores,


mis primeros sueños vinieron contigo,


es una historia de nosotros.




No te olvido, no, jamás.


Sabes tanto de mí,


de mi vida, de todo lo que en ella he hecho.




Así mis alegrías, mis caídas, se comparten contigo,


Es una historia de nosotros,


no te olvido.




Porque el tiempo puede enjaular


nuestros sueños y nuestros deseos,


hago mis elecciones y mis viajes,


y a veces pago el precio:


la vida me sonríe o me lastima,




Como sea la vida,


yo no te olvidao, no, jamás,


tú eres mi centro,


de mi vida y de todo lo que hago.




Mis primeros amores,


mis primeros sueños vinieron contigo.


Es nuestra historia.




No te olvido.




Aún del otro lado de la tierra,


continúo mi historia contigo.




No te olvido.


No, jamás.


Tú estás en mi centro,


de mi vida y de todo lo que hago.




Mis primeros amores,


mis primeros sueños vinieron contigo.


Es NUESTRA historia.




No te olvido,


no, jamás.




Sabes tanto de mí,


de mi vida y todo lo que hago.




Así mis alegrías, mis caídas, se comparten todas contigo.


Es nuestra historia,


No te olvido...


No te olvido...




sábado, 3 de febrero de 2007

LÂÂM: PEQUEÑA HERMANA








Pequeña hermana,


conozco tu pena y tu dolor,


el lugar que ocupan en tu corazón.


Yo era el mismo hermana,


pequeña hermana...






Te veo mirar por la ventana,


como si fuera yo, como si yo estuviera en tu cabeza.


Creeme, hermana, el silencio y el frío,


los conozco de corazón, yo pasé por ahí antes que tú!




Te veo esperar, esperar que cambie tu suerte,


y yo espero en la indiferencia.


Tu rehaces la lista de aquello que no te gusta,


no todo es tan triste, tú te dices que es así!






Pequeña hermana,


conozco tu pena y tu dolor,


porque yo tenía lo mismo en mi corazón,


somos tú y yo pequeña, tú y yo, pequeña.






Pequeña,


Yo sé cómo quema al interior,


tuve el tiempo de aprender de mis errores.


Somos tú y yo pequeña, tú y yo pequeña.






Pequeña, limpia


las lágrimas, la vida así es.


A veces tomamos golpes,


pero nos levantamos, más fuertes, más fieros,


nos aferramos a nuestros sueños y pasamos las fronteras.






Limpia tus lagrimas!


Llorar, de qué te sirve?


La vida es así! Un día esto pasará.


Pasan las penas de amor, aquellas que hacen dudar de una misma,


las palabras, los discursos,


todo eso se borrará!






FRANCIS CABREL: OCTOBRE



Esta canción mi niña preciosa, se llama Octubre, y es de un cantante cuyas letras me inspiran mucho... de hecho dos o tres de las canciones que te mandé en las postales son de él, Francis Cabrel. Octubre porque es uno de los meses que ahora espero con más ansias en el año, no sólo porque es mi cumpleaños, sino porque se ha convertido en el mes en que es seguro que te voy a ver y voy a estar contigo aunque sea un momento, y disfrutaremos juntos aquello que la vida nos trae. Preciosa, octubre para tí.














Octubre






El viento quebrará las ramas,


la niebla vendrá en su bata blanca,


y habrá hojas por doquier,


acostadas sobre las piedras.


Octubre tendrá su revancha.




El sol apenas saldrá,


y nuestros cuerpos se ocultarán bajo suéteres de lana.


Perdida entre tus bufandas,


cruzarás la tarde,


mientras octubre duerme en las fuentes.




Habrá, ciertamente,


sobre las mesas de fierro blanco,


lugares vacíos y que buscan,


y las nubes atrapadas en las antenas.






Te ofreceré flores,


y manteles de colores


para que octubre no nos cubra.


Iremos a lo alto de la colina


a ver todo lo que octubre ilumina.


Mis manos en tu cabello,


y una bufanda para los dos.


Al frente, el mundo se inclina.






Seguramente apoyados en las bancas


habrá algunos hombres que recuerden,


y las nubes atrapadas en las antenas.






Yo te ofreceré flores,


y manteles de colores


para que octubre no nos cubra.






Y sin duda veremos aparecer


dibujos en el empañar de las ventanas.




Tú, tú jugarás fuera


como los niños del norte,


y octubre se quedará, quizá.




Tú, tú jugarás fuera


como los niños del norte,


y octubre se quedará, quizá.




Te quiero =)




viernes, 2 de febrero de 2007

MECANO: LE 7 SEPTEMBRE







Bueno preciosa... esta canción imagino que ya la conoces en español, es la del 7 de septiembre de Mecano... y dice exactamente lo mismo en francés. Esa canción me hace pensar en tí, en mí, en nosotros. Te dejo aquí el video y las postales en las que viene escrito.